Ne rien oublier des provocations de Macron [Edito]
Le lundi 12 juillet, au lieu de concentrer son allocution sur la pandémie, la levée des brevets et la nécessité de se vacciner, le président de la République, a rajouté de la défiance en abordant en fin de discours des réformes à venir de l’assurance chômage et de la retraite.
Derrière toute son intervention, se cachait en vérité une posture du combattant, ne lâchant rien sur l’image du réformateur, tout en affirmant l’autorité présidentielle, l’appel au civisme et l’exaltation du patriotisme, quitte à fracturer encore plus la population.