Le site https://luttevirale.fr/ met des moyens à la disposition des salarié.e.s pour que les abus soient identifiés et combattus.
Il propose une série de fiches pratiques :
- Les règles relatives au temps de travail et à la rémunération https://luttevirale.fr/fiches/temps-travail/
- Le droit à la santé et à la sécurité sur son lieu de travail https://luttevirale.fr/fiches/sante-securite/
- Les droits au maintien de rémunération (absence pour garde d’enfant, maladie, personne vulnérable) https://luttevirale.fr/fiches/enfants/
- Les licenciements et rupture du contrat de travail https://luttevirale.fr/fiches/licenciements/
- Les règles relatives à l’activité partielle https://luttevirale.fr/fiches/activite-partielle/
- Agir pour faire valoir ses droits https://luttevirale.fr/fiches/agir/
Le Télétravail en quelques chiffres d’après l’enquête nationale de l’Ugict-CGT (34 000 réponses) :
38 % des télétravailleur.euses sont des cadres, alors que ceux-ci ne représentent que 18 % de la population active. À l’inverse, les ouvriers/employés sont sous-représentés en télétravail (essentiellement des employés). Il n’y a pas d’écart de genre spécifique.
Un basculement non anticipé dans le télétravail…
2 tiers des télétravailleur.euses actuel.les ne pratiquaient pas le télétravail avant le confinement. 71 % d’employé.es, 70 % de professions intermédiaires, et tout de même 62 % des cadres sont concerné.es.
Ce sont les cadres des très grandes entreprises qui télétravaillaient le plus avant la crise.
Si le télétravail a très majoritairement été mis en place à l’initiative de l’employeur, 14 % des répondant.es indiquent avoir dû insister ou se justifier pour avoir le droit de télétravailler, notamment les employé.es.
Peu ou pas d’aménagements mis en place par l’employeur
Plus d’infos dans le Rapport sur l’enquête nationale de l’Ugict-CGT https://luttevirale.fr/